Il ne sagit donc pas de parasitisme...
Le parasitisme est en fait assez rare. Certain disent que c’est une forme évolutive non aboutie (quel organisme aurait intérêt à détruire les ressources dont ils dépend pour survivre ? même l’homme est en train de se rendre compte que ce n’est pas possible à long terme).
André Selosse a aussi écrit un article intéressant sur les frontières entre animaux-végétaux et champignons. On le retrouve dans le « pour la science » n°350, décembre 2006.
Il ne sagit donc pas de parasitisme...
Le parasitisme est en fait assez rare. Certain disent que c’est une forme évolutive non aboutie (quel organisme aurait intérêt à détruire les ressources dont ils dépend pour survivre ? même l’homme est en train de se rendre compte que ce n’est pas possible à long terme).
André Selosse a aussi écrit un article intéressant sur les frontières entre animaux-végétaux et champignons. On le retrouve dans le « pour la science » n°350, décembre 2006.